Tout d'abord, une présentation du crew est nécessaire. La Dernière Conscience est composé de 2 passionnés : & . Tous originaires de Rennes, nous nous intéressons au hip-hop depuis déjà un certain nombre d'années. En suivant un processus logique, nous désirons à présent participer activement au développement de cette culture et essayer de lui apporter notre contribution par nos idées et notre vision. Le nom, La Dernière Conscience, peut paraître prétentieux, mais il se veut plutôt le reflet d'une certaine vision du hip-hop français. Celle-ci est à rapprocher directement de l'éthique de ce mouvement, conférant une grande importance au poids des mots, au respect de certaines valeurs, telles que l'authenticité, la simplicité et la réflexion, ou encore à l'artistique. La qualité sera toujours mise en avant, que la notoriété de l'artiste existe ou non. Le terme qualité peut paraître vaste, mais la meilleure définition qu'on pourrait lui donner serait d'inclure les notions de passion, de professionnalisme, d'originalité et de travail. C'est cette position que soutient La Dernière Conscience. Une position qui oscille entre la politique et la critique, et qui, dans tous les cas, amène une réflexion, une remise en question et une conscience en alerte.
Le site Internet a été lancé le 1er janvier 2001. Dès le début, une certaine optique voulait se dégager de l'outil Internet. Considérant ce média comme tel, et non comme une révolution ou comme un nouveau moyen de s'enrichir, toute forme de publicité est proscrite : ici pas de popups, pas de bannières, pas d'inscriptions, pas de promo déguisée, ... L'indépendance n'est pas qu'un terme que l'on s'approprie, c'est une volonté profonde. Le caractère gratuit et libre d'accès est donc primordial, tout comme la liberté au sens large du terme. D'un point de vue technique, le site est entièrement développé en code source par souci de contrôle et d'éthique. Il est optimisé pour les 2 principaux navigateurs, Internet Explorer 6 et Netscape 6 et utilise les technologies Flash et Real Audio. Il est enfin hébergé par Free et les statistiques de fréquentation sont réalisées par Direct-Stats. Tous 2 fournissent un service intéressant. Le site ne s'appuie pas sur une base de données pour pouvoir maîtriser complètement nos données. Cela permet de migrer rapidement et d'éviter de sous-traité l'administration d'une base de données. Les pages sont donc créées uniquement en HTML, JavaScript et CSS.              Le design du site se veut suffisamment simple et harmonieux pour mettre en avant le contenu. Ce dernier est décliné suivant 2 axes principaux : le son et le graffiti. Pour le son, vous trouverez des playlists mixées d'environ ¼ d'heure disponibles en streaming connecté et en téléchargement, réalisées par et des chroniques d'albums et de mix-tapes. Une dernière rubrique vous présente la scène rennaise ( DJ's, rappeurs, producteurs ). Le graffiti se concentre sur notre ville, Rennes, et ses environs. Le sous-menu scène rennaise présente, par une vaste sélection de photos, l'activité rennaise. Ensuite, les rencontres avec les différents crews rennais permettent de mieux cerner les différents protagonistes du graffiti rennais. Des écrans de veille sont également proposés en téléchargement suivant la même optique géographique. Autour de ces 2 branches, s'articule un édito sur un thème propre à la réflexion et des liens vers de bonnes adresses Internet. Un plan synthétise tout cela avec un petit clin d'oeil aux transports rennais. Internet permettant d'actualiser l'information, des mises à jour sont réalisées régulièrement. Il ne nous reste plus qu'à vous souhaiter une bonne visite. Si vous avez apprécié le site, nous vous invitons à le recommander à votre entourage. De la même manière, vous pouvez nous contacter pour divers objets. a commencé à mixer en 1998. Il s'acheta alors ses 2 Technics MKII et sa première mixette. Fort de ce nouveau matériel, il débuta dans l'art subtil du DJing. Petit à petit, sa collection de maxis et de vinyls augmenta considérablement, parallèlement au développement de sa technique. A force de changer le crossfader, il décida d'investir, 2 ans après, pour s'accaparer une Vestax. Gagnant ainsi en rapidité, il effectue à présent des scratchs et des passe-passes de plus en plus pointus. Pourtant n'est pas un DJ DMC. Bien qu'il ait un grand respect pour ces athlètes de compétition, il préfère l'art discret de placer un bon scratch ou d'enchaîner parfaitement 2 morceaux. C'est aussi ça l'esprit La Dernière Conscience : la technique est au profit de l'art ou de la pensée, et n'est pas seulement une finalité. Une première ébauche de mix-tape a vu le jour fin 2001 avec pour seule finalité l'introduction de la face A ( dispo en Real Audio ici ). Il désire concrétiser plusieurs projets comme notamment sortir des mix-tapes originales. Il mixe régulièrement dans l'émission Nex Reso, le samedi de 20h à 00h30 sur Canal B ( 94 Mhz sur Rennes ). Il intervient également lors de soirées : au Latitude Bar ou au Mondo Bizarro pour le Projet A... a 2 principales passions : l'informatique et le hip-hop français. C'est donc tout naturellement qu'il les allie pour donner forme à ce site. Tout comme ses collaborateurs et surtout amis, il désire faire partager ses passions et découvrir de nouvelles personnes. Amateur d'un certain style de rap français et de graffiti, il vous expose sa ligne de conduite à travers l'entité La Dernière Conscience. Le besoin de réflexion est souvent mis en avant. Dans cette même optique, il a également écrit dans le magazine bimestriel White Label. Je pense que vous aurez compris : ce protagoniste n'est autre que moi-même. Donc il est bien difficile de se présenter de manière objective. Je laisserai donc ce site, mes textes et toutes les pensées véhiculées, me présenter.